Ayiti : Terre du 3e Testament et du Retour Imminent

Ayiti, entre mystère et prophétie… ✨ Dans l’ombre du temps et du tumulte, Ayiti se dresse comme une terre sacrée, marquée par les douleurs du passé et les espoirs d’un avenir à reconstruire. À l’image de cette foule qui jadis choisit Barabbas au lieu de Jésus — la Vérité, la Lumière, l’Espérance — notre histoire semble parfois répéter ce moment d’égarement. Et pourtant… chaque lutte, chaque chute, chaque cri dans la poussière pourrait bien réveiller la prophétie endormie. #Ayiti #Espoir #HistoireSacrée #Prophétie #LumièreDansLesTénèbres

Johnson Samuel Charles

4/7/20254 min lire

Dans l’ombre du monde et du temps, là où les âmes errent et où les échos du passé résonnent, Ayiti apparaît comme le théâtre d’un mystère sacré, un lieu où la prophétie se réveille dans la poussière des luttes et des espoirs déchus. Ce n'est pas par hasard que ce pays a été désigné, comme une flamme vacillante, à l'ombre de la croix. Si l’on se souvient des foules en délire réclamant Barabbas alors que Jésus Christ, l'incarnation de la VÉRITÉ, de la LUMIÈRE et de L'ESPÉRANCE, marchait vers sa crucifixion, il n’est pas difficile d’entrevoir dans les tumultes modernes d'Ayiti un écho sinistre de cette époque.

En cette période pascale, où la résurrection est promise, Ayiti, dans son chaos apparent, serait-elle le lieu de la réincarnation des âmes qui pleuraient la souffrance du Christ sur le Golgotha ? Aujourd’hui, nous sommes ces âmes, ces hommes et ces femmes, qui dans notre aveuglement réclamons Barabas, alors que la lumière de Jésus Christ, cette vérité, cette sagesse, veut éclairer nos ténèbres. Comme un serpent qui se mord la queue, la société ayitienne semble se nourrir de ses propres illusions, ignorante des messages antiques qui grondent dans les vents du pays.

Le système, cet ordre imposé par les puissants de ce monde, a non seulement embrassé Barabbas, mais il a pris son essence même. Barabbas, figure de la violence et du chaos, est devenu la norme dans un pays qui a oublié son histoire, où la spiritualité est asphyxiée par le bruit des armes et des luttes. La barbarie semble dominer, et pourtant, un souffle secret parcourt les âmes perdues, une promesse de rédemption et de renaissance.

Le retour de Jésus Christ, messager de l’Amour universel et de la justice divine, ne sera pas un simple retour physique. Il vivra en chacun de nous, dans le cœur de ceux qui, comme les vraies âmes du Christ, ont traversé les épreuves sans tomber dans la facilité de la violence ou de la corruption. Mais le peuple ayitien, dans sa dévotion mystérieuse à ses souffrances et à ses blessures, doit comprendre que son salut ne réside pas dans les ténèbres de la révolte aveugle, mais dans la lumière de la reconnaissance et de l’acclamation du Juste , l'Agneau qui fût sacrifié pour l'humanité.

Ce retour, ce 3e Testament, n’est pas celui d’un homme venu d’outre-tombe, mais celui d’une révélation qui doit se faire en nous, dans la pureté des actes et des intentions. C'est dans la gloire de notre propre conscience que ce retour se manifeste. Et nous, descendants des âmes pleurant la croix, devons accepter ce retour comme une invocation sacrée, une quête du réel à travers les épreuves. Jésus Christ n’a jamais porté la croix pour sa propre gloire, mais pour révéler aux hommes que l’amour et la vérité sont les clés de la rédemption.

Aujourd’hui, dans ce pays de contrastes, où la lumière côtoie l’obscurité, où l'espérance se frotte à la misère, Ayiti devient le lieu sacré du 3e Testament. Les épreuves et les dérèglements sociaux, politiques et économiques ne sont que les signes avant-coureurs de cette révélation tant attendue. L’acclamer dans cette lumière nouvelle, dans cette écologie spirituelle de la conscience retrouvée, est notre devoir.

Ainsi, dans la grandeur de cette période pascale, nous devons nous unir, non pas dans le tumulte des violences, mais dans la sacralité de l’action collective. Les âmes des femmes et des hommes qui pleuraient il y a deux mille ans la souffrance du Christ sont aujourd'hui prêtes à renaitre sous la forme d'une écologie spirituelle. Mais cette écologie ne se résume pas à un simple changement de mentalité. Il s'agit de la transformation même de notre terre, la conversion du monde matériel en un paradis sur Terre. Ce paradis n’est pas un lieu à atteindre après la mort, mais une réalité à construire ici et maintenant, en harmonisant nos actions, nos pensées et nos pratiques avec la nature et l'univers. C’est une bataille pour la renaissance écologique, une lutte pour faire de cette planète un lieu digne de l’esprit humain, où chaque acte de bonté et de justice participe à la création du paradis terrestre.

Les grandes âmes qui pleuraient la souffrance de l' Agneau sur la croix ne l'ont pas fait pour fuir le monde, mais pour nous montrer la voie de cette transformation sacrée. Elles nous ont appris que le paradis ne réside pas dans des croyances éloignées, mais qu’il est le fruit d’un engagement quotidien envers l’écologie, la justice, et l’amour pour notre planète. Ce retour du Christ doit donc être accueilli comme un mandat divin pour mener cette bataille. Il s'agit d'un combat pour ériger un paradis écologique sur Terre, où chaque souffle de vie devient sacré et où la nature est vénérée comme l’extension de l’âme divine.

Ensemble, acclamons Jésus Christ qui revient dans la gloire de chaque action juste, dans le sacrifice de notre égocentrisme et de notre ignorance. Que l’unité spirituelle et terrestre d’Haïti, le cœur du 3e Testament, nous guide vers ce renouveau sacré, dans une renaissance écologique et spirituelle.

Ainsi, comme les âmes des dévots d’autrefois, nous devons aujourd'hui accueillir cette révélation : "Vive Jésus Christ, Roi des rois, Seigneur des seigneurs".

Johnson Samuel Charles